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La der’… avant la suite
Ça faisait longtemps qu’on ne les avait pas vu nos petits gars de la 1H. Faut dire que la semaine dernière, ils étaient en vadrouille à Valenciennes. Un déplacement beaucoup trop exotique pour un service com’ qui ne s’aventure guère au-delà du triangle Chambourcy – Maisons-Laffite – Port-Marly. Quoi vous dire sur ce match à l’extérieur ? Oh deux-trois petites choses :
=> Victoire 8 à 4. Ce qui est mieux que 8 à 6 (hic) mais moins bien 8 à 2 alors que bien meilleur que 8 à 8… pouah, pouah, pouaouaouah…
=> La Pauchet’s Family a bien été boostée par ce retour dans le Grand Nord : quadruplé de J-B, but de Thomas. 5 buts inscrits sur 8 soit 62,5 % des buts de la rencontre. Pas mal pour les frangins.
=> François Goyet n’a pas pris de carton et ce pour la première fois de la saison. Accident ou tendance à long terme ? Vous le découvrirez dans ce compte-rendu.
=> Un certain Grégoire Samson a fait son grand retour sur les terrains. Un nom qui n’est pas inconnu…
Assez ressassé ce lointain passé, place au dernier match du SGHC dans cette première phase de Championnat de France. Ca se passe contre Wattignies, une équipe contre laquelle les Saint-Germanois s’étaient inclinés dans les dernières secondes du match aller. En plus, c’était un match vraiment moyen de leur part. Enfin, il paraît : Wattignies est largement au-delà du fameux triangle évoqué précédemment. Autant dire que l’équipe 1H est remontée comme un coucou suisse et prête à laver l’affront commis par ces impétueux nordistes.
Et pourtant, cela commence sur un rythme que nous qualifierons de pépère, genre sortie de sieste entre le 10ème et 30ème tour d’un Grand Prix de F1. Ce sont donc les Wattignisiens qui prennent les choses en main. Dès la 45ème seconde (DLRS – Droit à La Réponse de Scoop : genre tu as noté ça Raclette… hum, bien sûr… tu me demandes de relire ton CR, je le relis… et l’agrémente, charge à toi et à vous de trouver où), les visiteurs se procurent une grosse occasion qui rase le poteau de Martin Zylbermann suite à la perte de balle d’un défenseur saint-germanois que nous ne nommerons pas (Mathias, tu m’en dois une ! Ah… zut, tant pis !). Wattignies squatte la balle durant le premier quart d’heure profitant des nombreuses pertes de balle saint-germanoises. C’en est trop pour Coach Pascal qui, en une fraction de seconde, passe d’un timbre très Norah Jones à quelque chose de moins doux, quelque chose oscillant entre Iron Maiden et Motorhead. Des hop-hop-hop tonitruants commencent à résonner au sein du Camp des Loges, faisant même peur aux rugbymen sur le terrain d’à côté. Cela a le mérite de réveiller ses joueurs. A la 17ème, St Ger se crée sa première mini occaz via un centre de Frédéric Verrier que Guillem Roig ne peut reprendre, trop court.
Dix minutes plus tard (ah ouais, quand même), St Ger obtient un PC après une action plutôt sympatoche vers la gauche du cercle conclue par un shoot revers de Cap’tain Baptiste Rogeau. Guillaume Samson arme sa raclette, la balle est violemment envoyée vers le but mais soudain une ombre bleue au brushing impeccable surgit et la dévie au-dessus du gardien. Mais qui es-tu donc mystérieux sauveur ? “Rhooo, c’est Kevin. Ça fait plusieurs semaines que l’on l’a travaille cette combinaison” révélera Coach Pascal. “Il était temps qu’il en place une !”. Ha non, ça, il ne l’a pas dit mais on le rajoute quand même (on dit tout mais on n’assume rien, rappelez-vous notre slogan de début de saison !) But de Kevin Mercurio et 1-0 pour le SGHC. A peine le temps de dire Scoubidou-bidou que St Ger aggrave le score : Frédéric déborde et alerte François qui enrhume par un tour de passe-passe au moins deux défenseurs (trois selon les organisateurs). Celui-ci trouve Joris Harou pour une déviation imparable. Voilà qui est mieux et ce sera le score à la mi-temps.
Et la deuxième repart comme la fin de la première, c’est à dire bien. Dès la 39ème, Guillem trouve un PC. Son push est arrêté par le gardien mais Thomas est au rebond. Sa frappe n’atterrit pas dans la planche, ni même dans le filet, ni même sur le poteau mais dans le pied d’un adversaire. Dernier défenseur, c’est stroke. J-B se charge d’exécuter la sentence d’une frappe en lucarne. 3-0. Trois minutes s’écoulent et le SGHC se procure un nouveau PC. Le blocage est loupé. Ça tourne autour du cercle et la balle revient sur Guillaume, resté aux avant-postes. Son shoot revers est stoppé, frappe de Kevin sur le rebond mais de nouveau arrêté : 1 arrêt + 1 arrêt, ça fait ? Non, pas un poisson, ça c’est une arête. Mais non pas une ligne de bus, voyons. Non, ça fait un double arrêt du keeper nordiste ! Quelques instants plus tard, St Ger obtient un troisième PC : la combinaison Guillaume-J-B ne donnera rien. A la 56ème, un ouf de soulagement parcourt le public : François se prend un carton vert et rassure ses fans : “Public, ne t’inquiète pas, la semaine dernière c’était juste un incident de parcours.” Il accroît par ailleurs son avance au Challenge “Le carton, c’est mieux que le plastique” (DLRS – Droit à La Réponse de Scoop : celle-là, tu ne l’assumeras pas, mais tout seul !!!).
Nous rentrons gentiment dans les dix dernières minutes. Le rythme retombe un peu. De toute façon, le score est fait. A la 64ème, Thomas obtient le deuxième stroke du match après s’être bien fait tailler la crosse et pourtant, Pilou Verrier n’était pas dans les parages. J-B se représente devant le portier wattignisien et…loupe. Trop haut ? A côté ? Les deux ? On dira les deux. Plus facile. La perspective n’étant pas mon amie sur ce coup. Peu importe, le résultat est le même : dégagement. Ne jamais prendre deux stroke dans un même match. JB connaissait la règle. Mais bon, il fallait bien essayer ! Il reste une grosse poignée de secondes, c’est à dire deux ou trois minutes. Donc une petite poignée de minutes. Une pincée. Bref. PC SGHC, Guillaume à la manoeuvre, sa raclette est bien stoppée. Dommage. Il faut attendre la toute fin de match pour voir Wattignies s’essayer également au PC. Celui-ci, pas hyper hyper fort mais quand même plus qu’une frappe du Président lors des matchs du matin est arrêté sereinement par Martin.
L’arbitre siffle la fin du match. On peut aller se réchauffer autour d’un thé au club house. Exempt la semaine prochaine, le SGHC en a fini avec cette première phase de championnat de France. Il termine premier de son groupe avec 19 points, 28 buts marqués et 10 encaissés. Pas mal du tout. Place maintenant au Top 6 qui commencera dans une quinzaine de jours.
Bonus photo : le kikicé force 4